«  Le premier de la classe ignore le plaisir que prend le cancre à regarder par la fenêtre. »

Robert DOISNEAU

Pourquoi ce Blog ?

D’abord, mon activité professionnelle est terminée et je n’ai plus besoin d’un site de type « vitrine » pour présenter mon activité…

Ensuite parce que, face à la folie des puissants qui grandit outre Atlantique, il me semblait urgent et essentiel de rentrer dans une forme de résistance en fermant tous mes comptes des réseaux sociaux grand public pour trouver des alternatives plus éthiques. Et puis, pour poursuivre cette démarche, proposer à ma très humble mesure, un chemin loin des algorithmes insidieux nous privant de notre libre arbitre, en nous dictant ce que l’on doit acheter, voire croire ou penser.

Il m’est alors apparu naturel d’imaginer un projet éloigné de tout diktat phagocytant, un projet tournant autour de la créativité qui est par nature un espace de liberté et d’imagination permettant à l’Homme de s’accomplir.

Ce modeste blog est un itinéraire où je vous propose d’embarquer librement, avec des arrêts sur images commentés. Il ne va pas changer le monde. Mais c’est une petite chose que je peux faire, une goutte d’eau dans l’océan, qui j’espère, vous procurera un peu de douceur.

Derniers articles publiés

Vitrail naturel

La nature est ma cathédrale préférée. La canopée des forêts constitue sa voûte, le tronc des grands arbres ses piliers, la clairière inondée de soleil son chœur, les gouttes de rosée son eau baptismale, et les feuilles illuminées de lumière des vitraux naturels qui s’animent au souffle de son esprit.

Lignes de vie

La charrue est passée par là pour préparer le sol. Geste millénaire et éternel. L’horloge de la terre sonne les saisons. Tracer un sillon nous raccroche à la planète, à notre histoire, et nous propose un espoir de récolte, un futur possible en faisant de nous des vivants qui parcourons le temps.

Cache-cache

Quand le soleil se cache derrière les nuages, il croit qu’on ne le voit plus… Un peu comme les enfants qui masquent leur visage avec leurs petites mains, les plongeant eux seuls dans un monde d’ombre. Ou bien ceux, un peu plus grands, qui utilisent maladroitement les rideaux du salon pour tenter de se camoufler. Les grands ne sont pas dupes, mais sourient tendrement en entrant dans leur jeu.